Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
NOUVEAU DESIGN + d'infos ici ♥️
GRAND TRI par rapport au rescencement et au trop-pleins de membres inactifs.
Si vous avez été supprimé par erreur vos fiches ne sont pas supprimés, ré-inscrivez !
Les maisons Serdaigles et Serpentards sont a privilégier !
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 Pourquoi est-tu si près ? [Pv: Emeric B. Gray]

Aller en bas 
AuteurMessage
Emric B. Gray

SLYTHERINdixième année Plus petit kiki que Tobi


Emric B. Gray


⚡ PAPERS : 143
⚡ POINTS : 13
⚡ ICI DEPUIS : 30/06/2011

Pourquoi est-tu si près ? [Pv: Emeric B. Gray] Empty
MessageSujet: Re: Pourquoi est-tu si près ? [Pv: Emeric B. Gray]   Pourquoi est-tu si près ? [Pv: Emeric B. Gray] EmptyLun 11 Juil - 23:26


Pourquoi est-tu si près ? [Pv: Emeric B. Gray] 2u5g6j8
Pourquoi est-tu si près ? [Pv: Emeric B. Gray] 295959stansigna8
Il n’était vraiment pas tôt, voire même tard, dans ce pays magique qu’était Poudlard. La lune se reflétait sur le grand lac de l’école de magie, tandis que tous rejoignaient les bras de Morphée. Mais comme toujours, j’étais le premier à m’endormir. Je n’étais pas une personne qui avait besoin d’énormément d’heures de sommeil, ce qui était un gros avantage. En effet, je pouvais rester assez tard pour travailler si mes devoirs n’étaient pas finalisés, pour pouvoir la journée profiter des autres Serpentard, de flâner dans le parc quand il faisait beau, ou traîner dans les couloirs par autres temps. Mais il y avait d’autres jours, quand je n’avais vraiment rien à faire de mes soirées, où cette qualité se transformait en énorme défaut. Cette sensation de ne pas réussir à s’endormir, de chercher le sommeil en tournant dans tous les sens mais sans résultats, c’était affreux. C’est ce qui m’arrivait à ce moment même.
J’en avais vraiment marre de rester dans mon lit. Il n’était plus très loin de minuit, et j’avais besoin de dégourdir mes jambes. C’était aussi dans ces moments que j’avais besoin de penser, à ce que j’étais devenu, ce que je voulais devenir. Je ne voulais pas non plus trop me remettre en question, car je n’étais pas déçu de moi, malgré mes choix que beaucoup ne comprennent pas. Mais de marcher, en réfléchissant à tout ça. Je n’avais pas besoin de penser trop longtemps à tout ça, je m’étais déjà rhabillé en toute vitesse, et sorti des dortoirs, ma baguette magique dans la poche au cas où. Je savais que sortir du château était risqué ces temps-ci, les professeurs surveillaient assez attentivement cette porte d’entrée, ils n’étaient jamais assez prudents. Je n’avais plus qu’à faire le tour du château, mais le plus discrètement possible, afin de trouver un endroit pour méditer tranquillement.
Sorti des cachots, rien d’intéressant. Rez-de-chaussée, à part être suicidaire et aller faire un tour dans la salle des professeurs, je n’avais rien d’intéressant à faire là. Je n’avais plus qu’à monter au premier étage, devant les tableaux qui dormaient, à part quelques uns qui trouvaient étrange que je passe par là, et qui me fixaient. Je n’avais pourtant pas allumé la lumière de ma baguette, mais je sentais leur regard sur moi, pour certains. Je l’allumai seulement arrivé au premier étage, car je savais que c’était ici que je devais me rendre. La salle des miroirs m’attendait, j’en avais l’impression, que c’était vraiment là où je devais me poser, pour réfléchir. J’y allais souvent pourtant pour trouver un endroit tranquille, pourquoi n’y avais-je pas pensé plus tôt ? Je me rappelle encore des réunions que j’avais parfois avec la belle Serdaigle, Giacconi, celle qui m’éblouissait toujours autant par sa beauté et son caractère, aussi fort que le mien. Qui aurait cru que j’irais draguer une Piaf ?
Je m’approchais de la salle, et pointa ma baguette dessus, ce qui suffit pour l’ouvrir. Et je savais dès que je l’avais ouverte, que quelqu’un était dans la salle, et je sentais une présence appréciable de mon odorat de vipère.
Un pas dans la pièce, entourée de miroirs. Je n’eus même pas l’occasion d’en regarder un où j’étais seul, où je pouvais voir réellement ce que j’étais devenu, que j’en vis un, où je n’étais pas seul. La silhouette de Esilia, celle que je m’attendais à voir, mais que j’espérais aussi beaucoup, car j’étais habitué à ce qu’on se tienne compagnie ici parfois. Et ce miroir, celui qui nous montrait notre réelle personnalité, nos envies, nous montraient ensemble. Pourtant, je ne ressentais pas grand-chose. Elle avait l’air de croire que j’étais près d’elle, à la toucher, à presque l’embrasser. Et moi, je n’étais pas dans ce rêve, dans cette vision du miroir, je la regardais plutôt extérieurement. Je ne savais pas ce que cela signifiait, ce qu’elle espérait de notre jeu, mais j’avais aussi l’impression de voir la réalité en face. Et ce miroir, qui se brisa en mille morceaux quand je pensai à ramener Esilia à la réalité. Des morceaux partirent un peu partout, sans pour autant, et avec beaucoup de chance, nous blesser. Je fut pourtant surpris, presque autant que la jeune Serdaigle, de cette casse. Et je l’entendis prononcer mon prénom, se doutant probablement que cela ne venait que du fait que j’étais venu. Pourtant, je ne dis rien, et je m’avançai seulement vers elle, en évitant quelques bris de verre, mais en tout assurance. Je ne savais pas vraiment quoi dire, mais je ne voulais pas être gentil. J’aurais été trop différent. Et ce côté supérieur et narcissique revint comme une claque à la surface, chassant un côté quelque peu sensible au galop.
    « Je vois que je suis dans tous tes rêves Giacconi.. Tu sais si tu as envie de m’embrasser, il faut me le demander ! »
Revenir en haut Aller en bas
Emric B. Gray

SLYTHERINdixième année Plus petit kiki que Tobi


Emric B. Gray


⚡ PAPERS : 143
⚡ POINTS : 13
⚡ ICI DEPUIS : 30/06/2011

Pourquoi est-tu si près ? [Pv: Emeric B. Gray] Empty
MessageSujet: Re: Pourquoi est-tu si près ? [Pv: Emeric B. Gray]   Pourquoi est-tu si près ? [Pv: Emeric B. Gray] EmptyMar 19 Juil - 14:54


Pourquoi est-tu si près ? [Pv: Emeric B. Gray] 2u5g6j8
Pourquoi est-tu si près ? [Pv: Emeric B. Gray] 295959stansigna8
Cette salle était assez surprenante à vrai dire.. Se voir tant de fois autour de soi, c’était légèrement déboussolant. On ne pouvait pas ne pas faire attention à son reflet qui nous regardait, ou qui était autre part. Mais lorsqu’on était seul, on ne pouvait que se regarder. Mais là, quand on avait une si jolie femme en face de soi, on ne pouvait pas ne faire que se contempler, même si lorsqu’on tournait à peine le regard d’elle, on pouvait se voir. Pourtant, elle était de dos, et si je désirais observer son doux visage, je ne pouvais le voir qu’à travers un miroir. Et forcément, mon reflet réapparaissait, mais sans me donner une quelconque information sur moi, mon caractère, peut-être même parfois ce que j’allais probablement devenir, ce qu’il faisait d’habitude. Là, je ne me voyais que moi, mes cheveux blonds légèrement ébouriffés, et Esilia, sa crinière blonde lui retombant dans le dos, et me regardant, un petit sourire après ma remarque. Son calme m’intéressait fortement, sachant toujours réagir après ce genre de situation. Malgré le fait qu’elle soit à Serdaigle, nous nous ressemblions assez fortement, et j’avais toujours un peu de mal à comprendre ce qu’elle faisait dans la maison de l’aigle, alors qu’elle pouvait avoir une personnalité presque garce qui conviendrait à entrer dans la maison du serpent. Mais je respectais ce choix, et peut-être était-ce parce que nous étions dans deux maisons différentes que j’aimais ce jeu qui se jouait entre nous, cela rajoutait plus d’enjeux dans tout cela. Je m’attendais déjà à une réplique piquante de sa part, la connaissant, et connaissant son comportement envers moi. Je n’étais pas quelqu’un qui aimait faire dans la douceur, et elle aimait rentrer dans mon jeu quand je commençais à la provoquer, en toute gentillesse bien évidemment. Sa réponse ne se fit pas attendre bien évidemment, dans un murmure si reposant, qui montrait qu’elle avait la situation bien en main, tout en s’apprhciant de moi pour que je puisse mieux voir ses traits finement dessinés « Je pense mon cher Emric que c'est toi qui voyage dans les songes. Et puis qui te dit que c'était toi ? ». Je souris aussi, chose que je n’avais pas faite précédemment pour ne pas lui laisser imaginer que je me moquais d’elle. Je pouvais aimer humilier des gens, mais pas des personnes comme Esilia, encore moins dans ces moments d’intimité. Pourtant je ne pouvais répondre tout de suite à sa question, qui méritait une réponse. La voyant s’approcher de moi, je pouvais enfin la voir autrement qu’à travers un miroir. Vous pensez peut-être que c’est pareil de voir quelqu’un avec ou sans un miroir, mais le reflet fait perdre à mes yeux de l’intensité à la personne. En tout cas, je ne pouvais qu’admirer son corps qui s’approchait encore, ses lèvres près des miennes, et son décolleté à ma portée. Mais je ne bronchai pas, lui laissant le bénéfice du doute. Elle savait pertinemment que je ne montrais pas ce que je pensais, afin qu’elle se pose peut-être des questions. J’aimais par-dessus tout avoir les cartes en main, tandis qu’elle s’éloigna à nouveau, et s’asseyant par terre.

Je ne la rejoignis point, restant où j’étais. J’avais réellement l’impression qu’elle s’attendait à ce que je lui dévoile des sentiments soudainement. Mais voilà, rien à faire, je n’avais pas de sentiments à lui donner. Je préférais donc pour l’instant ne pas aller la rejoindre, et je me résignai à contempler à nouveau son reflet dans le miroir. Toujours avec ce sourire séducteur, je répondis enfin à sa question. « Alors cite-moi un autre homme qui te fait autant voyager au septième ciel que moi Giacconi. Je serais curieux de savoir qui est ce mystérieux inconnu ! » Finalement, je m’avançai tout de même vers la jeune Serdaigle, sans pour autant m’asseoir à ses côtés. Je restai debout derrière elle, regardant notre reflet dans cet immense miroir. J’aurais presque pu laisser passer de la sympathie à son égard à ce moment même, ce qui me mettait mal à l’aise, vis-à-vis de moi-même, n’aimant toujours pas montrer quoique ce soit. Pour enlever ce sentiment, j’ajoutai une remarque toujours hautaine et absolument non modeste « Tu sais, il n’y a pas de honte à vouloir de moi. Si tu savais le nombre de filles qui sont dans ta situation.. »
Revenir en haut Aller en bas
 
Pourquoi est-tu si près ? [Pv: Emeric B. Gray]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» TOBIAS GRAY ❝je prête serment.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: FLOOD & CIE :: L'ARMOIRE A DISPARAITRE-
Sauter vers: